jeudi 5 mai 2016

"Demain": Eux, ils avancent !

Le Burkina Faso renonce au coton génétiquement modifié

A Mrs et Mme les politiciens européens, les pays d’Afrique (Burkina Faso), d’Amérique Centrale  (Costa Rica, Salvador) et d’Asie (Bhoutan) avancent plus vite que vous !
Eux, « les pays en voie de développement » comme vous les appelez souvent, sont de plus en plus développés et axés vers leurs citoyens que vous!
Et ils se sont déjà rendus compte que les rendements et les résultats économiques sont plus intéressants si l'on travaille sans tous les pesticides, OGM des multinationnales que vous soutenez. (volontairement ou involontairement)

L'article !

C’est officiel, le Burkina Faso renonce définitivement au coton génétiquement modifié.
Au cœur d’une polémique depuis de nombreuses années, il présente des effets néfastes sur notre environnement.
Les produits utilisés pour traiter cette menace étaient accusés d’appauvrir les sols et d’augmenter la résistance de certains insectes comme les araignées, les chenilles ou encore les punaises qui se sont habituées aux pesticides de… Monsanto.
C’est une bonne nouvelle que le Burkina renonce à cette culture néfaste pour l’environnement et l’être humain.
Stop à Monsanto
En revanche, ce processus a été décidé par manque de profit et non pour des questions éthiques et morales…. dommage !
Pour le continent africain, Le Burkina est considéré comme un laboratoire.
Ce pays a jeté l’éponge la semaine dernière, en assurant que le coton génétiquement modifié (CGM) n’était pas rentable.
En effet, ce ne sont pas moins de 4 millions de burkinabés qui vivent directement ou indirectement de cet « Or Blanc ».
« La fibre de coton que nous produisons aujourd’hui est devenue courte », et donc plus difficile à filer, « ce qui signifie que sur le marché, c’est une activité qui n’est plus très intéressante pour nous », a expliqué mardi 12 avril à l’AFP le président burkinabé Roch Marc Christian Kaboré.
« Le gouvernement a pris des dispositions pour stabiliser la filière », et injecté de l’argent pour aider les producteurs, a-t-il ajouté.
« C’est une bataille gagnée », s’est félicité Christian Legay du Conseil national de l’agroalimentaire biologique qui milite pour un moratoire de 5-10 ans sur les OGM au Burkina, même si les raisons qui ont poussé à ce renoncement sont d’ordre financier.

Chers Politiciens, ("cher !", n'est pas une formule de politesse mais bien votre coût),
Bougez et osez combattre
ces sociétés qui nous empoisonnent avec votre accord !

Sources :http://lareleveetlapeste.fr/

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